lundi 31 octobre 2011

Wonder ou Cat?

Hey bonjour, c'est @Littledaewoo, la caution féminine de ce blog mode/beauté.
Bon ok j'ai mis du temps avant de venir te causer par ici, mais moi j'aime bien prendre mon temps et trouver le sujet qui fait mouche!

Les mecs de SephoRaoul sont un peu tous barrés Comics à donf alors je me devais de m'adapter un peu si je voulais pas m'faire virer après le 1er post... C'pour ça qu'aujourd'hui je vais te causer de la mode inspirée des superhéros... Ahem :



Magnifiiiiiiique pull chauve souris en acrylique que Jeanne Mas portait déjà dans les années 80


Le treggings à la catwoman que si tu as un poil de cellulite tout le monde le voit...
Sans parler du possible camel toe fail!


Bon ok je badine, je badine, mais cet hiver les 2 supers héroïnes sexy de DC Comics (aka Catwoman et Wonderwoman) ont inspiré un distributeur de shoes de filles.

Parce que c'est pas facile facile de sortir comme ça dans la rue,


Parce qu'on est pas toutes des Kate Moss




Cet automne tu peux choisir ton camp et toi aussi te glisser dans la peau de ta superheroïne préférée sans complexes ni risque de pneumonie : 








Vs







Par contre comme sur SephoRaoul on est pas des vendus au grand capital, et qu'a priori cette collec de shoes fait l'objet d'une campagne sponso, j'ai décidé en accord avec moi même de pas te dire où tu pourrais trouver ces merveilles.
Sauf si tu me le demandes gentiment en com, alors là je t'enverrais un mail avec des coeurs, des arcs en ciel, des licornes et le nom de l'enseigne qui distribue ces shoes!




C'était donc @Littledaewoo en direct des frontières de la civilisation, à vous les studios...





samedi 29 octobre 2011

Hue mulet

Les poils c'est la classe. Il ne fait plus aucun doute que tu arbores une stache et une combinaison de spationaute depuis que tu parcours régulièrement les conseils beauté de SéphoRaoul.
Bon bien ici on parle aussi de femme à poil (sans stache hein) et de films... mais si tu viens c'est pour augmenter ton capital séduction et crois moi nous allons faire de toi un vrai tombeur (ou tombeuse mais pour la stache je suis dubitatif).
Tu te demandes certainement quoi faire de cette tignasse de hippie que tu peines à mettre en valeur. C'est vrai que ce n'est pas simple de savoir quoi faire avec ces poils qui poussent d'une façon chaotique sur ta tête difforme et peu harmonieuse.
Heureusement SéphoRaoul a une fois de plus la solution : Le mulet.
Tu te demandes ce que c'est je suppose. C'est simplement la coupe de cheveux qui réuni élégance, classe, séduction et surtout elle est intemporelle. Avec cette coupe les femmes fondent de désir et les hommes brûlent de jalousie (ou l'inverse selon tes préférences ou ton sexe ou les deux... enfin j'me comprends). En un mot comme en cent : c'est la coupe obligatoire pour être dans le coup. Toutes les autres coupes ne t'apporteront que déceptions amoureuses, impuissance, billets de tac-o-tac perdants, écrans bleus sous ouindoz, file d'attente la plus lente au carrouf, chaussures qui font transpirer des pieds et plus de pq quand tu vas aux toilettes. Alors vite, laisse toi pousser la nuque et devient un winner de la gagne of ze man de la décennie of ze future de demain. Bref la nuque est faite pour toi.

Les stars ne s'y sont pas trompé

Pour le plus beau jour de ta vie, la nuque est obligatoire : classe et surtout tellement viril.

La nuque se porte même jeune et ça se marie très bien avec l'orthopédie dentaire.

La nuque est l'accessoire indispensable de la rock star ! Au même titre que les mitaines en cuir et le genou dénudé. Tu peux pas test.

Tu as un regard de braise et le sourire radieux ? La nuque est faite pour toi. Le magic combo de la mort qui tue. ps : la ficelle sur l'épaule est un plus pour le tombage de minettes.

Les lunettes sont devenues un vrai accessoire de mode. Mais que vaut une belle paire de lunettes sans une nuque magnifiquement portée ? Note que pour accentuer le coté ouf malade du crucifix posé sur le tish de hardos, une boucle d'oreille n'est pas superflue  

Tu aimes la déco ? Les revues subversives ? Les pulls chamarrés ? La nuque complétera admirablement ta panoplie du bon goût. 

 Amour et sous-pull ? Sans la nuque tu ne pourras jamais conclure. Il l'a compris... tu sais ce qu'il te reste à faire.

Le combo ultime c'est bien sûr : stache et nuque. Qui pourrait résister ? hein ? qui ?
Bob "Blog mode et Jacques Dessange"

mercredi 26 octobre 2011

De l'Art ou du Cochon

Introduction (hashtag libre ou #MoiteurTropicaleDansTonString).

Comme son nom l'indique, dans SephoRaoul il y a le préfixe Sépho et le suffixe RAAAAAOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUULLLLLLLL. Je vous ferai, dans un futur proche un post sur le second vous permettant de mieux comprendre les tweets matinaux de Niko.

Cette mise au point triviale mais néanmoins nécessaire étant faite, nous pouvons déflorer (hashtag libre) le sujet qui nous intéresse aujourd'hui : De l'Art ou du Cochon.



Vous l'aurez compris, en lien avec le préfixe Sépho, nous allons aborder ce qu'il y a de plus essentiel dans la mode et la cosmétique, je veux parler bien sûr du nu (ben oui, du cochon quoi merdeuuhhh).

Avant de gaspiller inutilement vos maigres subsides dans des maquillages hors de prix, hors de propos et surtout hors de ma vue parce que vraiment c'est pas poss, réfléchissons ensemble à l'importance du support.

Je ne parle évidemment pas de la norme et de ses bienfaits en matière de pensée unique non, je parle de ce corps qui est le votre, de ce superbe support, de cette enveloppe qui met vos tenues d'apparat en valeur. Oui, ne vous y trompez pas, c'est bien le corps qui sublime les vêtement et le make up et non pas l'inverse.


Sur la photo artistique de femme à poil nu ci-dessus, vous constatez aisément, comme moi (ou alors vous êtes sous IE6 et dans ce cas je vous remercie de vous déconnecter immédiatement) que le corps de ce modèle met parfaitement en valeur les draps, la tête de lit (pourtant assez cheum) et votre caleçon par la même occasion. Nous touchons du doigt (hashtag libre) le point Qlminant (hihihi) de la démonstration. Le corps nu sublime tout ce qui l'entoure.


Je l'avoue ceci n'est que partiellement vrai. En fait, des examens et tests cliniques approfondis (hashtag libre), réalisés auprès d'un échantillon représentatif de moi qu'en réalité, la vue d'un corps nu (du sexe opposé, de même sexe ou autre selon les goûts de chacun) nous fait oublier le reste. En vrai, ON S'EN BAT LES STEAKS DES DRAPS ET DE LA TETE DE LIT, ON LES A MEME PAS VUS.

C'est ainsi que, sans le savoir, vous avez vous même participé à ce test. Lequel parmi vous a même remarqué la tête de lit cheum ? Aucun bien sûr, concentré que vous étiez sur la partie artistiquement dénudée KELESTBONNESARASS du modèle.

C'est ainsi que nous pouvons affirmer 2 choses :

  • le corps met en valeur son environnement et non l'inverse
  • TOUS A POIL

Si comme moi, vous êtes donc convaincu (face à une telle démonstration il serait surprenant du contraire) que le plus bel atout dont vous disposez est ce corps et que celui-ci n'a besoin de nul apparat pour rayonner, vous regarderez les autres différemment. Peut-être même pour ce qu'ils sont et non pas pour ce que vous voulez qu'ils soient.

Si vous n'êtes pas convaincus, la photo ci-après est pour vous.




Ps : Hashtag libre permet pour les plus valeureux d'entre vous d'ajouter à la phrase du #DTC et #CMB à foison.
Ps 2 : Foison n'a rien à voir avec Toison hein, enfin je précise pour mon Veuch qui pourrait se méprendre.

@Raoul
Crédit tofs @Liwoo

lundi 24 octobre 2011

Blob mode - Les fringues dans la SF

Vous allez trouver qu'on fait trop la part belle aux geeks peut-être, oui mais non. La rédaction dans un élan de modernitude juste, te propose aujourd'hui de parler de la SF sous l'angle de la mode. En effet, qui ne s'est pas trouvé invité à une soirée costumée avec une furieuse envie de se martienniser un chouille ou de se déguiser en Chewbaca, mais sans avoir les modèles adéquats pour se confectionner un magnifique costume en alluminium et papier crépon. Ne pleure plus Jeannette, nous te déguiserons. Lalalalalalala.

Un rapide tour d'horizon de la SF m'a permi de conduire (si si j'ai le droit) une analyse précise de la mode dans l'espace, et de déterminer qu'il n'y a pas trente six manières d'être élégant à bord d'un vaisseau spatial, et en gros tu as trois, allez quatre styles dominants :

- le style cosmonaute ou monstre hyper accessoirisé
- le style uniforme vaguement plus ou moins futuriste
- le style néo-gothique
- le style feuquigne blou boye

- what else ...?

le style cosmonaute ou monstre hyper accessoirisé

Ça c'est le trip typique des années cinquante : il y avait deux tendances, soit le hard science, comme dans "Destination lune" ou "Conquest of space" avec vrais combi de cosmonaute à scaphandrier et vaisseau spatial très crédible, soit au contraire des monstres ridicules, genre slime géant ou homme tête de crocodile comme dans "Alligator people" ou " Invaders from Mars". Ce genre de déguisement n'est à conseiller qu'aux vrais bricoleurs-stylistes particulièrement doués,  car même au cinéma les résultats ont souvent été catastrophiques


Destination Moon

This Island earth
(Toute ressemblance avec Mars attacks serait euh...)


L'uniforme pseudo-futuriste
Très à la mode dans les séries des années soixante et soixante dix le pseudo uniforme vaguement futuriste mais surtout méga cheap a été institutionnalisé par la série Star Trek. Son gros avantage était économique car basé sur une légère customisation du sous-pull en acrylique.

Star Trek


C'est simple et efficace : pantalon noir indéfinissable, sous-pull (trois couleurs au choix) un insigne, et hop le tour est joué. Il est pas magnifique cet équipage ?


Dans le même esprit on trouvera quelques années après les magnifiques ensembles beige sale de de Cosmos 1999 et les tenues tout aussi ridicules de l'âge de Crystal - vous vous rappelez Logan, Jessica et le robot REM ?

Cosmos 1999



L'âge de cristal


Enfin, pour en finir avec ce style, on a bien sûr  les combinaisons du parodique "Galaxy quest" avec la délicieuse Sigourney Weaver et l'excellent Monk, enfin je veux dire Tony Shaloub.


Galaxy quest, le crew


Plus chiadé, lui succédera le style techno-néon de Tron au début des années 80. Les acteurs semblent plus ou moins recouverts de circuits imprimés avec de la lumière partout. Personnellement j'adore, enfin surtout dans le Tron d'origine, je trouve que dans Legacy on a trop épuré les combinaisons, même si ça passe mieux en soirée.


Tron 1982


Tron 2010


Le néo-goth
Plus près de nous, vient le style néo-gothique avec grand imper noir et bottes en cuir ou costume très sombre. L'archétype de style directement inspiré des 80's BatCave, c'est bien sûr Matrix. De nombreux geeks sont restés scotchés sur ce style depuis le film. Dans le même esprit, le recteur Preston d'Equilibrium, Cristian Bale, porte aussi très bien l'imper sombre. Là encore, la mise de fond est minime pour t'habiller comme ton héro. Le plus dur c'est de faire le moulinet ralenti en arrière de Néo ou le kata du flingue de Preston en réalité.


Le Feuquigne Blou Boye
Pour conclure ce post sur la mode dans la SF par une note un peu plus gay, nous mentionnerons une tendance qui bien que marginale n'en est pas moins présente et influente, je parle du staïle Feuquigne Blou Boye. Tenues cuir très près du corps, torses avantageux, moumoutes, fait ton choix. Dans les adeptes du cuir on trouve surtout les personnages de Mad Max, tout en muscles saillant et vestes cloutées. Je les verrais bien interpréter le répertoire complet des Vilèdje Pipole. Pour ceux qui veulent la jouer plus soyeuse, il y a la tenue tout en léopard de l'animateur radio du Cinquième élément qui est aussi très sexouze.


C'est so greeeeeeeeen, baby !!!


SM hardCore #Warning

Si rien de tout cela ne te convient, tu peux opter pour le personnage de V, mais c'est un peu risqué la maréchaussée pourrait te prendre pour un Anonymous actif et décider de t'embastiller illico. Si tu préfères le style mystérieux de Belphégor, tu prendras moins de risque et l'investissement de base est tout aussi raisonnable : un niqab du marché de la Grande Borne à dix Euro fera l'affaire. Et si tu n'as vraiment pas les moyen, un bon rouleau de ruban adhésif blanc, et hop, te voilà costumé comme Liloo du cinquième élément ! Elle est pas belle la life ?

@Marko_Leptik

vendredi 14 octobre 2011

Culture geek - Nos amis les robots

Comme vous le savez toutes et tous, le meilleur ami du geek, c'est le robot. Je ne développerai pas ce postulat, c’est une évidence, tout au plus pourrais-je conseiller à ceux d'entre vous qui ne connaissent pas les merveilleuses histoires de robots d'Asimov, d'attaquer tout de suite, et de revenir à mes pauvres divagations plus tard, après leur lecture. Comme le geek aime les robots, et que j'en suis un, je m'en va te causer un peu de robots, au risque de taper sur les nerds des moins technophiles (ouais je sais, éculé toi-même d’abord). Les robots de la SF nous accompagnent depuis tellement longtemps que beaucoup sont des personnages qui nous sont très familiers, et certains sont mêmes franchement humains. Pour dresser un panorama un tantisoit structuré des robots célèbres du grand et du petit écran, des comics et animes, je te propose une classification simple et efficace à la fois, que voici :

  • les androïdes, qui comme leur nom l’indique, ont une apparence plus ou moins humaine,
  • les pas androïdes, qui n'ont pas du tout apparence humaine
  • les « autonomes », non créés par la main (ou le robot) de l'homme, les aliens quoi
  • les robots de combats
Et pis les hybrides entre deux genres, me diras tu (ou pas) mais là ça devient le bordel alors on va simplifier. Il y en a beaucoup me diras-tu encore (peut-être), aussi je propose un filtre basique et néanmoins rigoureux : on va retenir seulement ceux qui m'ont fait kiffer. Hop.

Donc, dans la catégorie androïde, mes préférés sont :
- Rank Xerox
- Le Terminator
- Le Nexus 6

Dans les presque androides je verrais :
- Maria, le robot de Metropolis
- 6-PO


Dans les pas androides on peut citer :
- Robby le robot du famous forbiden planet,
- D2R2, l’éminent collègue du bavard protocolaire
- Nono le petit robot, compagnon de Télémaque et Ulysse dans Ulysse 31

Dans les robots de combats on peut trouver :
-Mazinger z et Goldorak
-le robot destructeur dans « Le roi et l'oiseau »


Dans les autonomes on a :
- Les ridicules daleks de la série doctor who
- Les transformers



Commençons donc par les androïdes, avec Rank Xerox

Rank Xerox, c'est l'ambiance seventies à donf (même si c'est sorti dans L'Echo des savanes en 81) période de sex drugs and rock n roll et de libération des djeunns. Atmosphère cyber-punk, no limit, no future, fanzines destroy et dope à gogo. C'est un androïde plutôt gentil à la base, le Xerox. Simplement faut pas trop l'embêter ni loucher de manière insistante sur sa petite amie, car là il pourrait lui prendre l'envie de te travailler le buffet à la tronçonneuse. Lui est donc un robot devenu sentimental à la suite d’un court-circuit, et sa petite amie Lubna, est une gamine de douze ans toxicomane et sex-addict. Oui c'est chelou un peu.. Un trait fin et réaliste, des scénarios pas très fouillés mais des persos intéressants. A l'époque les mecs pouvaient encore faire dans le très politiquement incorrect. Les auteurs, Liberatore et Tamburini ont donc publié trois volumes de ses histoires. On note la participation d'Alain Chabat sur le tome 3 en tant que scénariste - ce n'est donc peut-être pas pour rien que le vaisseau spatial d'Objectif nul s'appellera plus tard le Liberator, comme tu l'auras sans doute deviné. D'ailleurs mon ami Bob me précise dans l'oreillette que c'est normal, car le vaisseau c'est Liberatore lui-même qui l'a dessiné (j'avoue j'étais à mille années buross de m'en douter) .Bref Rank Xerox, qui s'appellera Ranxerox ensuite pour de sombres et bizarres histoires de copyright, c'est droïde de légende quand-même.

Dans la catégorie androïdes toujours, on trouve le célébrissime Terminator. On va passer rapidement sur lui, vous le connaissez par cœur, comme le notre-père ou le générique de Candy (chacun sa culture, je ne juge personne). Il a laggle de Shwartzy, et des répliques cultes qui tuent comme « Asta la vista », « I’ll be back » ou « vous êtes Sarah Conor ?» (nan c’est à côté ) qui nous ont tous marqué. Bref, Terminator quoi ! Yessssss.




Toujours chez les androïdes, on a les magnifiques Nexus 6 de Blade Runner. Les réplicants mythiques portés à l’écran par Ridley Scott font aussi partis de mes favs’ comme on disait dans Podium (y a de la référence littéraire TAVU). Ils ont les visages de Rion James (Leon Kowalsky) avec sa vrai cheutron de méchant pas beau, Rutger Hauer (Roy Batty), Daryl Hannah en Nina Haegen pseudo sexouze qui séduit JF Sebastian. Et puis il y a la belle Sean Young (Rachael) mais elle, je refuse qu’elle soit un bot, elle est trop belle pour ça. Et Indiana Jones est d’acc’ avec moi j’te ferais dire, na. Epicétou.


Passons maintenant aux pseudo androides. Ceux qui ont vaguement forme humaine, mais c'est pas encore tout à fait ça


Il y a d'abord le robot père, ou plutôt mère, de tous les robots de la SF, c'est Maria, le robot du mythique film de fritz lang, Metropolis. Magnifique et majestueux, c'est le premier beau robot du cinema. J'adore ce robot a la fois pour sa plastique, son rôle ambigu dans l'œuvre du teuton cinéaste, et pour le film lui même qui a influencé a peu près tout le monde depuis sa sortie. Au premier coup d'oeil on voit direct que c'est l'arrière grand-mère de 6-PO, et rien que pour ça grand respect. Et puis il est a l'image du personnage de Maria, qui dans le flim annonce l'arrivée du messie aux pauvres travailleurs exploités de la ville basse, tout un programme quoi. Je vous invite chaudement à voir ou revoir ce film fabuleux, et a wikipedier les influences du film sur les créations diverses qui ont suivi en SF, c'est un tout petit peu énauuuurme. Vous vous rendez-compte que Fritz Lang dans ce film, en 1928 donc, imaginait déjà de la visiophonie pour communiquer, avant même qu'on invente la téloche… Bref, ce Fritz Lang, vraiment un pauvre con sans aucune vision d’avenir...


Pour info, des bobines qu'on croyait disparues ont été retrouvées récemment dans un musée en Amérique Latine, permettant de remonter une version plus complète du film avec 25 mn en plus. Vous pouvez le voir en ce moment dans sa version remontée en 2010 au Champolion, à côté du parc du Luxembourg.




Le descendant plus ou moins avoué de Maria, c’est bien évidemment 6PO, le célèbre droïde protocolaire de Star Wars. Je ne vais m’étendre dessus, d’abord parce que ça fait tout froid, et puis vous le connaissez sûrement mieux que moi. Je me contenterai de le mentionner parce que voilà quoi, c’est pas n’importe qui. Même si les crétins de chez BitRebels disent que c’est les costumes de pompiers du 19eme siècle qui ont inspiré son look, n’écoutez pas ces débiles de Yankee dégénérés, l’inspiration, c’est Métropolis. Point à la ligne, basta.



Les "pas androïdes" maintenant

On va commencer par le plus ancien, Robby le Robot. Robby le robot, c'est celui du mythique Forbiden Planet. Il est sobre, parle d'une voix monocorde, et est un parfait assistant et majordome. Il a une vraie allure de robot, en tout cas telle qu'on la fantasmait à l'époque, et rien ne manque : des lumières qui clignotent, des petits bruits mécaniques et une obéissance sans faille sauf si on lui donne un ordre pouvant mettre en danger la vie d'un être humain. Et surtout il a une caractéristique top-moumoute, vite repérée par l'un des membres d'équipage qui n'est pas la moitié d'un marin : il peut reproduire en grande quantité toute molécule dont on lui confie un échantillon. L'un des membres de la mission pense donc aussi sec à lui soumettre quelques gouttes de gnôle, et en obtient vite une quantité respectable pour un client sérieux. Hips. C'est son côté over pratique.




Le successeur de Robby sera B9, dans la série "perdus dans l'espace". Lui aussi créé par Robert Kinoshita, c'est une pale copy de Robby, je n'en dirais pas plus. Kinoshita avait auparavant créé un robot super foireux, en 1954, baptisé "Tobor the great", avec un look super lose. Cependant j'aimerais bien avoir cette pièce étrange et Ouate le phoque dans ma collec' j'avoue.


Nono le petit robot "C'est moi Nono, le petit robot, l'ami d'Ulysse" chantait-il dans le générique de ce chouette dessin animé franco-japonais, réalisé par Jean Chalopin. C'est un peu un mix anthropomorphique de D2R2 et Idéfix en fait, ce petit compagnon rigolo de Télémaque. Il est omniprésent dans le feuilleton. Il a une voix marrante et est très attachant.
Quand j'étais môme on avait un berger allemand et une petite chienne cairn-terrier, appelés respectivement Ulysse et Nono :) tout est dit.

D2R2 : au départ, c'était juste un holo-projecteur de salon bricolé dans son garage par un dénommé Obiwan Cannabis (et il mangeait de la pizza froide, très important).Comme il avait la flemme de le transporter quand il changeait de pièce (les fumeurs de beuh sont des feignasses, c'est connu) il lui a donc adjoint des papates à roulettes et une interface IA un peu sophistiquée pour que le machin le suive partout. Ensuite, dans un accès de créativité il a voulu lui donner la parole, mais il était tellement foncedé quand il mis au point le module vocal, que ça n'a jamais donné autre chose que des bruits ridicules. La skunk d'Aldorande, elle déchire ta maman putain ! Bref, un jour il s'est lassé et l'a refourgué. Pour savoir comment il a rencontré 6-PO, bah révisez Star Wars quoi merde à la fin.

Version intermédiaire avec une tête d'humain - pas retenue 
o_O

 Les robots de combat et autres exo-squelettes

Goldorak d'abord ! C'est mon tout premier manga Goldorak, celui qui m'a le plus scotché quand j'étais petit. J'attendais l'heure de Récré A2 juste pour ça. Le prince d'Euphor, Actarus, avec ses acolyte Alcor et Vénusia, sous l'éminente houlette du professeur Procyon... Protégeant la terre contre les diaboliques forces de Véga, elle même dirigées par les diaboliques Minos et Hydargos et leurs hordes de Golgoths et d'Anteraks !!! C'était trop trop trop TROOOOOOP génial !
Juste avant Goldorak, il y avait eu en quelque sorte sa version beta, c'est à dire le Mazinger Z, qui était apparu dans un long métrage.


Goldorak avait des armes redoutables : fulguro-points, pulvonium, rétro-laser, planitron, corno-fulgur... Ça bastonnait grave ! Mais il savait faire durer le plaisir Actarus : il sortait ses armes les plus puissantes, le combo corno-fulgur puis astéro-hache, toujours à la fin ! Par contre on ne saura jamais pourquoi Actarus faisait un tour complet sur lui-même dans le trajet entre le poste de pilotage de la soucoupe et celui de la tête du robot. Interrogé là dessus lors d'une séance dédicace à la FNAC, l'auteur japonais avait répondu par une pirouette : "peut-être que sa nature prudente d'extra-terrestre l'incite à se retourner pour vérifier qu'il n'y a aucun danger"... À l'intérieur même de son robot, trop nawak sa réponse quoi sans déc' ! Mais bon, c'est un détail, on lui pardonne.



Les autonomes, les aliens !

On a évidemment les fameux Daleks de Doctor Who. Comme le dit mieux que moi une grande encyclopédie en ligne dont je tairais le nom, on dirait de grands gobelets en métal retournés et couverts de boutons de forme hémisphérique, et pourvus d'une sorte de bras ventouse ridicule. Techniquement parlant, ce sont plutôt des exo-squelettes, car c'est une structure robotique, la partie vivante du Dalek étant une sorte de méduse qui loge dedans. Ils sont les plus redoutables ennemis du Docteur Who donc, peuvent manipuler les champs de force le temps... Brr... Ils sont terribles. Mais surtout, ils sont dramatiquement ridicules, et le ridicule tue, alors méfiez vous tout de même. Ah, un dernier détail à propos des Daleks : ces invertébrés de l'espace pratiquent le culte de Skaro. Je ne me permettrais pas de faire une analogie avec des parlementaires français pratiquant le culte de Sarko, mais bon, c'est presque tentant j'avoue.



Les transformers : les transofrmers, c'est joli mais sinon c'est con comme la lune alors on en cause pas ok ? Merci -  (là désolé mon Bob, je peux pas transiger, le concept est trop con)

Et les robots dans la vraie vie ça donne quoi ?

Et bien en dehors des machines d'assemblage de chez Renault et consort, il y a maintenant des exo-squelettes qui commencent furieusement à ressembler au robot piloté par Sigourney Weaver à la fin d'Alien II (merci encore Bob, je confondais avec Alien III, Alzheimer attaque), capables de transporter des charges très lourdes, et ça ressemble à ça :



Comme tu vois, la réalité n'est plus très loin de la SF. Amusez-vous bien, et joyeuse mécanique dans vos slips mes loulous, comme dirait Bob. Bzzzzz - Couic -


@Marko_Leptik